« Né, élevé, instruit dans un milieu et une culture uniquement du “verbal”
je peins pour me déconditionner. »
Henri Michaux
je peins pour me déconditionner. »
Henri Michaux
EXPOSITIONS
« Arbres et branchages »
Salon de la Photographie 2013
du 12 au 20 octobre 2013
En hiver, les arbres perdent l’habillage de feuilles qui leur confère une prestance. Dénudés, ils révèlent un ensemble de lignes folles. Loin de suggérer l’idée d’une mortification, de la réduction de l’arbre à l’état de squelette, les branches semblent témoigner d’une vie intense, à la manière du système nerveux, tel qu’on peut le voir sur des planches anatomiques. Ne se présentant plus avec leurs formes en épaisseur, ils dévoilent des dessins qui se prêtent à un traitement par la photographie monochrome.
« Regards partagés »
du 10 au 28 septembre 2013
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Manifestation « Sculptures-en-l’Île » à Andrésy
du 17 mai au 22 septembre 2013
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29 novembre au 8 décembre 2012
Malgré l’équivoque de notre titre, ces photographies ne célèbrent pas les graffiti. Loin d’être montrés pour eux-mêmes, ces derniers apparaissent tronqués ; voire, ils sont définitivement intégrés à leur support et à ce qui les environne. Même des inscriptions officielles ou publicitaires revêtent, ironiquement, un statut d’écriture sauvage, à valeur ponctuelle. Ces images explorent systématiquement l’interaction entre les traits graphiques, et les lignes ou les textures qui les entourent, dans des compositions dont chacun des éléments jouit d’un statut égal. Si celui qui pratique les graffiti imagine s’approprier les murs publics, pour les détourner à son propre profit, ces photographies achèvent de dévoyer ces inscriptions à leur tour.
affichette_murs_ecrits.pdf | |
File Size: | 3502 kb |
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24 mai au 21 juin 2012
La lumière est une présence qui demeure imprévisible : se diffuse, elle se diffracte, se retire. Elle traverse ces œuvres, qui reflètent quelques uns de ses instants, se partageant en deux faces qui nous font passer de la peinture à la photographie, de la couleur à la représentation monochrome, de l’informel au figuratif. La lumière s’y perçoit à la fois comme onirisme enveloppant et inscription qui s’imprime sur le regard. Moments éphémères, qui capturent la trace d’une marque invisible et indélébile.
expo_invitation-h_def.pdf | |
File Size: | 1910 kb |
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